
CONAKRY- A Conakry, certains citoyens sont déjà ans la ferveur des préparatifs de la fête de Ramadan ou l’Aïd el fitr. Mais les nouvelles ne sont pas « bonnes » dans les marchés que nous avons sillonnés, dans la capitale. C’est le cas à Madina et à Koloma. Dans ces centres de négoce, vendeurs et acheteurs se plaignent tous d’une conjoncture économique assez difficile, qui impacte leur pouvoir d’achat.
A moins d’une semaine de la fête qui marque la fin du ramadan, certains vendeurs, se plaignent de la rareté de la clientèle. Tandis que les clients eux, déplorent la cherté des prix sur le marché. « Les complets sont à 180 mille et les chaussures pour les filles à 100 mille et pour les hommes à 90 mille. Nous avons des robes pour les filles que nous vendons à 200 mille. Nous ne vendons pas comme avant parce que tout le monde est devenu vendeur ou dispose d’une connaissance qui revend les habits. Certaines demandent mais n’achètent pas parce que les prix sont chers disent-ils. Pourtant ce n’est pas nous qui rendons chers les habits. Nous aussi nous prenons chez des grossistes pour revendre pour nous faire un petit bénéfice », confie une commerçante trouvée à sa place au marché de Koloma.
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